Pardonnez-moi, cher Monsieur, de discuter un peu votre réponse.
Lorsque l'on s'émeut parfois (souvent) de la situation de l'Eglise qui est en France - et que l'on a la faiblesse, certes, de généraliser cela au monde entier - il nous est souvent répondu qu'effectivement il y a beaucoup de pays où l'Eglise progresse.
Est-ce une raison pour autant pour se taire et pour ne plus se plaindre, si l'on a le sentiment que l'on est abandonné par ses pasteurs, et par moments même par Notre Sainte Mère l'Eglise ? (Je ne vous cache pas que personnellement je trouve usante cette attente du Motu proprio, attente rendue difficile par les échos réguliers dont s'en fait la presse, vous en savez quelque chose...)
Personnellement, je ne le pense pas.
Sauf preuve contraire, nous sommes bien en France et à ce titre, je confesse que ce qui compte avant tout pour moi, c'est ce qui se déroule dans mon pays.

Non ?