1) ceux qui se convertissent au soufisme posent un problême analogue à ceux qui passent au "bouddhisme": une religion sentimentalo-mystique sur mesure, mais avec le risque que les enfants passent soit au salafisme, soit à l'indifférence blasée.
Malheureusement, très peu de prêtres et de laïcs ont à la fois le bagage apologétique et la motivation pour les aider à cesser de se caresser l'âme en rond!
2) les convertis à l'extrémisme salafiste ou wahabiste posent d'abord un problême de sécurité publique vis à vis de "sectes djihadistes", et ensuite de rééducation presque psychiatrique, et sur ce plan spécifique, qui s'en occupe?
3) ceux qui entrent dans le laminoir des observances en famille et en voisinage y trouvent un cocon protecteur en contrepartie de l'abandon de tout esprit sérieusement critique; problême commun à toutes les intégrations dans des "sectes pacifiques" type mormon;
là encore, quelle pastorale en France actuellement...?
veuillez aussi consulter les posts 282847 et 282940