La première et la quatrième questions se ressemblent. Il faut mettre toute son énergie à faire reconnaître par tous les évêques de la chrétienté le droit du rit imprescriptible et la validité des considérations théologiques de Mgr Gamber et du Cal Ratzinger à ce sujet. C'est le plus urgent parce que le déni de ce droit est une injustice qui empoisonne le coeur de l'Eglise.
C'est plus utile que de faire de la théologie car la liturgie est la forme de la foi pour chaque chrétien alors que la théologie n'est que la cogitatio fidei à l'usage de ceux qui l'enseignent et de ceux qui en vivent plus profondément, hélas pas la majorité des chrétiens!
Vous dîtes que les trois canons comportent aussi la doctrine de l'Eglise. Il faudrait à cela un examen minutieux que je suis tout à fait prêt à faire avec vous hors antenne. Mais le problème n'est pas là. Un rit ce n'est pas seulement un texte, c'est un ordre vivant une manifestation concrète, gestuelle aussi de la beauté de Dieu. J'ai assisté jusqu'à l'âge de 18 ans au NOM en français sans comprendre ce qu'était cette messe. C'est le rit ancien qui me l'a montré.
Cela dit, votre position de prêtre diocésain n'est pas facile et j'admire votre courage. Loin de moi l'idée de vous faire la leçon.
Fraternellement à suivre...
GDT |