Encore faudrait-il que je fréquentasse des paroisses. Ce qui est certes le cas, mais je suis électif, dans mes choix. Pendant très longtemps, j'ai élu le Sacré Coeur de Montmartre, puis Saint Germain l'Auxerrois (y compris un certain 7 mars 1993 où je vis pénétrer dans cette église, alors que nous achevions de chanter Attende Domine, une troupe venue en touriste depuis StNic), où la liturgie était plutôt à l'honneur, puis maintenant une autre paroisse parisienne.
Bref, en dehors de Paris je constate la vacuité liturgique, surtout lorsque les messes sont célébrées par des prêtres âgés (il est vrai qu'il est difficile de trouver beaucoup de prêtres jeunes en France).
Indéniablement, il y a déficience, mais je redis : l'enjeu est l'apprentissage de l'observance, l'amour de l'observance. On aura beau faire toutes les réformes et demander toutes les obéissances, si on ne travaille pas cette question, on n'arrivera à rien. Il y a donc beaucoup de travail : qui accepte encore d'obéir en dehors des lieux où il y est contraint par la loi, la violence ou l'argent ? |