Le directeur spirituel de Catherine Labouré était très réticent. Il n'accueillit le récit des apparitions des 18 juillet et 27 novembre qu'avec un grand scepticisme. Par la suite, il demanda son éloignement de Paris afin de garder le secret tandis que Mgr de Quelen répliquait seulement : "Qu'on diffuse cette médaille tout simplement. Et l'on jugera l'arbre à ses fruits".
C'est seulement en 1876 que Catherine Labouré -la "soeur poulailler" de l'hospice d'Enghien- parla des apparitions à sa Supérieure, d'ailleurs déjà au courant. |